QUAND MARSEILLE TOMBE SOUS LE CHARME DU PSG

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSAwIoiF9NH-C-KIjr3tXLd3OQFwiF_JXvgPuA9Rj-W7aMACcn4eGLxffiJEPxEHmddUH5GBbE6r0GkQuVutP02p_bi6Mv-R6kcp2i5v_RjSda-Ge9-ZteBPF_gRnfMeD_GDetuFKoo6o/s1600/2a.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiSAwIoiF9NH-C-KIjr3tXLd3OQFwiF_JXvgPuA9Rj-W7aMACcn4eGLxffiJEPxEHmddUH5GBbE6r0GkQuVutP02p_bi6Mv-R6kcp2i5v_RjSda-Ge9-ZteBPF_gRnfMeD_GDetuFKoo6o/s1600/2a.jpg" width="400" /></a></div><br />Baignée par un léger soleil, la pelouse synthétique du Sporting Club d’Air Bel, l’un des meilleurs clubs de jeunes de la ville de Marseille, déborde d’enfants en vacances venus parfaire leur technique balle au pied. Et en regardant les tuniques portées, une « anomalie » saute immédiatement aux yeux. Au cœur du 11e arrondissement marseillais, les maillots des minots ne sont pas forcément tous aux couleurs bleues et blanches. De l’OM, il y en a forcément beaucoup. Du Real et du Barça aussi, comme partout. Mais également… du PSG ! Impensable il y a encore quelques temps, porter le maillot du club de la capitale est de plus en plus courant à Marseille.<br />Pour mesurer la popularité nouvelle du PSG, il suffit de pousser la porte du vestiaire du club des U12 d’Air Bel et de voir les quelques mains se lever fièrement lorsqu’est demandé qui supporte Paris. « Cela fait bizarre que sur une très courte période comme ça, à savoir depuis deux ans que le PSG s’est restructuré, de voir autant de petits qui ont basculé de l’autre côté, avoue Nordine, éducateur au club. C’est impressionnant. L’effet Zlatan en grande partie. » Trop fort, trop charismatique, le Suédois a même conquis le cœur des jeunes Marseillais. « C’est vrai que Paris a une belle équipe et qu’aujourd’hui les enfants sont tous amoureux d’Ibra », concède un peu la mort dans l’âme Bruno, dirigeant d’Air Bel.<br /><br /><b>« On est libre, à Marseille »</b><br />Tabou chez les plus anciens supporters du club champion d’Europe en 1993, le fait d’apprécier le PSG est donc de plus en plus commun. Lorsque les plus fervents se refusent toujours à supporter Paris en Coupe d’Europe, certains jeunes sont à contre-courant de cette opposition. Sans que cela ne crée aucune animosité. « On est libre à Marseille, lance, avec l’accent provençal, la petite Maïssa. Il n’y a personne qui va me dire : "Tu aimes ça, tu aimes ça". J’aime ce que je veux. »<br />Mais avant que le PSG devienne le club le plus populaire des Bouches-du-Rhône, il y a encore un monde. « Même s’ils ont une belle équipe, la plus forte qui soit, je serai toujours pour l’OM, prévient le petit Mehdi. C’est ma ville, je suis né ici. Allez l’OM ! » Et pour prévenir toute « Paris-mania », les parents sont très à cheval sur l’éducation footballistique. « Tu aimes Paris ? », demande Alex à son fils Raphaël, qu’il porte sur ses genoux. Réponse : « Pourri ! ». « Ce n’est pas une question d’éducation mais ça rime en fait, c’est ça le problème », explique le père. La rivalité n’est pas prête de prendre fin…<br /><br />Source : bfmtv.com

QUAND MARSEILLE TOMBE SOUS LE CHARME DU PSG

Baignée par un léger soleil, la pelouse synthétique du Sporting Club d’Air Bel, l’un des meilleurs clubs de jeunes de la ville de Marseille,...

Plus d'infos »

L'enjeu du Clasico : le PSG va-t-il gagner 3-0 ou 4-0 ?

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLXnW7R5lbT4w6UtXhp48PLYOxeNz3_JLHFFCL1o_Sbf5izSY0Absolpd8AxJLNGAZQqieSanwIapzGcjqK7_YmbbRyc8Scyw-2LgCokFXPMaieS8p5P1QDAXDH_sAyMpuZCEDSa5JpUo/s1600/2a.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="223" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgLXnW7R5lbT4w6UtXhp48PLYOxeNz3_JLHFFCL1o_Sbf5izSY0Absolpd8AxJLNGAZQqieSanwIapzGcjqK7_YmbbRyc8Scyw-2LgCokFXPMaieS8p5P1QDAXDH_sAyMpuZCEDSa5JpUo/s1600/2a.jpg" width="400" /></a></div><br /><br />Dimanche, c'est PSG-OM, donc Clasico. Et c'est parti pour un compte à rebours de 48 heures où la planète football ne va parler que de ça. Ibrahimovic contre Gignac. Lavezzi contre Valbuena. Mandanda contre Sirigu. Faisons confiance à la qualité des équipes de Canal Plus, dirigées par le sémillant Cyril Linette, pour susciter le désir et l'envie de contempler ce sommet de la Ligue 1, quand bien même il est de récente tradition. Le service des sports de Canal Plus, ce n'est pas celui de France télévisions, il ne vit pas en 1985.<br /><br />Mais que vaut, question football, ce PSG-OM ?<br /><br />Comptablement, il a son importance. Le PSG, qui n'est pas encore le Bayern Munich, n'a pas creusé le trou au classement de la Ligue 1 qui lui permettrait de passer le crucial mois de mars sans trop de pression. Dans cette perspective, si les Stéphanois avaient la bonne idée de battre Monaco et le PSG de se défaire de l'OM, le club parisien se retrouverait avec huit points d'avance, autant dire deux jokers à onze journées de la fin, soit le titre quasiment en poche.<br /><br />MARSEILLE_PSG_JOIE_061013.jpgOsons dire ici la vérité, le destin du match en lui-même ne parait guère faire de doute. Si suspense il y a, il porte sur l'ampleur de la victoire du PSG. Combien de buts d'écart à l'arrivée ? Trois ? Quatre ? L'OM est-il capable de marquer ne serait-ce qu'un petit but à Sirigu ? Même Gignac ?<br /><br />Notez bien : ce n'est pas que l'on veuille du mal à Marseille par principe. On aimerait que la formation de José Anigo soit à la hauteur de l'événement, mais on en doute. Même Mandanda, si brillant en début de saison, est devenu une usine à bourdes en tous genres. Et ce ne sont pas sorties provocatrices du jeune Thauvin, "il n’y a plus de valeurs au PSG. Ils ne parlent plus que d’argent", à l'image de son échevelé président, qui donneront à l'OM le talent collectif et individuel, tactique et technique qui lui fait défaut aujourd'hui... Loin de là...<br /><br />Ces dernières semaines, malgré le calendrier, malgré l'absence de Cavani, le PSG est devenu le clan Lannister de la Ligue 1. Onze buts marqués en trois matchs, deux encaissés. Quand bien même l'OM a eu de la chance ces derniers temps, on imagine mal la formation conduite par le tandem Anigo/Labrune inquiéter plus de vingt minutes le PSG de Laurent Blanc. Oh certes ! Tout est possible, c'est ce qui fait le charme du football, mais qui pourrait croire aujourd'hui, entre une équipe qui brille en Ligue des champions et une autre qui y a été ridicule que la seconde puisse vaincre la première ?<br /><br />Rendez-vous dimanche, pour la confirmation de qui est écrit ici. Ou pas. Les pronostics les plus assurés sont souvent les plus vite démentis. Qui sait ? <br /><div><br /></div><div>lefigaro</div>

L'enjeu du Clasico : le PSG va-t-il gagner 3-0 ou 4-0 ?

Dimanche, c'est PSG-OM, donc Clasico. Et c'est parti pour un compte à rebours de 48 heures où la planète football ne va parler que d...

Plus d'infos »

Cabaye : « On ne m'a jamais rien donné »

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqiZotziAmGU-1gQuspzqufyvwqbYwHlax5fXEuz5BamwMjKAne5ft-gBF1FWNcCU55qTTIUj5Q7KjrYzgcWlHSiMUfyENmOsHGgToCkERYIVN4UXUJzcJ6a4Pw-z700iDZG0NwNt5Lfc/s1600/2a.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="246" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqiZotziAmGU-1gQuspzqufyvwqbYwHlax5fXEuz5BamwMjKAne5ft-gBF1FWNcCU55qTTIUj5Q7KjrYzgcWlHSiMUfyENmOsHGgToCkERYIVN4UXUJzcJ6a4Pw-z700iDZG0NwNt5Lfc/s1600/2a.jpg" width="400" /></a></div><br />Un mois après son arrivée, le milieu de terrain international de 28 ans dresse un premier bilan. Malgré un manque de temps de jeu certain, il ne regrette nullement sa décision d'avoir quitté Newcastle cet hiver. Il a foi en ses qualités et envisage l'avenir avec sérénité.<br /><br />Comment se passe votre immersion au PSG ?<br /><br />Yohan Cabaye. Très bien.<br />Je prends mes marques petit à petit. Je travaille pour vite  trouver ma place dans un collectif déjà parfaitement rodé. L'équipe a eu une vie avant moi, et le plus délicat est de s'intégrer et de me faire accepter. J'ai réussi à marquer et à faire marquer. Je suis plutôt satisfait. Mais il faut continuer à en faire plus.<br /><br />Est-ce simple, justement, d'intégrer un tel effectif ?<br /><br />Bien sûr, même s'il n'est jamais facile de changer de club en janvier. Les joueurs ont été top. J'ai découvert un groupe content de se retrouver chaque jour. Cela chambre et ça rigole et sur le terrain. Tout le monde comprend et s'exprime en français, même si chacun a sa langue maternelle. Beaucoup sont passés par le Calcio, donc ça parle aussi italien. C'est normal. J'ai connu cela à Newcastle où on était dix Français.<br /><br />Vous sembliez déçu de ne pas débuter dimanche à Toulouse. Cela vous gêne de ne compter qu'une titularisation depuis votre arrivée ?<br /><br />Je n'étais pas déçu. C'était par rapport à ce que j'ai pu accomplir sur le terrain. On a toujours le sentiment qu'on aurait pu faire mieux. C'était personnel, rien de méchant envers quiconque. Je prends le temps de jeu qu'on me donne. J'essaie de montrer, à chaque fois que je rentre, que je peux jouer davantage.<br /><br />Ce manque de temps de jeu ne vous inquiète-t-il pas dans la perspective du Mondial ?<br /><br />Je n'y pense pas. L'entraîneur est là pour faire ses choix. Je travaille pour avoir le plus de temps de jeu possible. C'est pareil en équipe de France. Mais j'y suis depuis un petit bout de temps. On ne m'a jamais rien donné. Je reste confiant pour la suite.<br /><br />Comment s'adapte-t-on au sein d'un milieu à trois considéré comme l'un des meilleurs en Europe ?<br /><br />J'ai connu ce système à Lille lors de mes deux dernières saisons. C'est important d'être toujours en mouvement, de donner sans cesse une solution au porteur du ballon, d'essayer de ne pas être dans la même zone qu'un autre joueur. C'est à moi d'apprendre leurs habitudes et de m'adapter. Mais je dois également jouer mon jeu.<br /><br />Etes-vous impatient de découvrir la saveur particulière du PSG - OM de dimanche ?<br /><br />C'est différent des matchs que je pouvais jouer avec Lille. On connaît la rivalité entre les deux clubs. Mais on ne sent pas encore quelque chose de particulier à l'entraînement. La pression viendra certainement au fur et à mesure de la semaine. Mais on comprend que pour les supporteurs, c'est quelque chose d'important. Depuis deux jours, beaucoup de gens m'en parlent. J'ai hâte de découvrir l'ambiance, le match, les à-côtés. A Newcastle, on avait aussi une confrontation très chaude contre Sunderland. Un vrai derby. J'aime ce genre de rencontre et je suis pressé d'y être.<br /><br />Qu'avez-vous appris de vos deux saisons et demie en Angleterre ?<br /><br />La répétition des efforts, car le rythme est très élevé. Il y a peu de temps morts, les arbitres sifflent moins qu'en France, il faut toujours être concentré. Il n'y a aucun match facile. Chaque opposition est un combat où il va falloir faire des efforts. Cela me plaisait. Je me suis vraiment régalé. Je suis content d'avoir connu cette expérience.<br /><br />Etes-vous étonné par le parcours de Monaco ?<br /><br />Les dirigeants ont mis les moyens pour constituer une équipe capable de rivaliser avec Paris. Et les matchs ne sont jamais gagnés d'avance. J'ai déjà joué plusieurs fois contre Paris, et la motivation, tu n'as pas besoin d'aller la chercher loin. Elle vient toute seule. Pour nous, le plus dur est de jouer après la Ligue des champions avec la fatigue. Inconsciemment, peut-être que la motivation retombe aussi. Mais le parcours de Monaco est un mal pour un bien car cela nous permet de ne pas nous relâcher.<br /><br />La démonstration à Leverkusen (4-0) vous rend-elle optimiste pour la suite du parcours en Ligue des champions ?<br /><br />Déjà la veille, à l'entraînement, j'ai vu des joueurs très concentrés, très concernés. C'est la marque des grands. Ils savent ce qu'ils veulent. Il reste encore beaucoup de matchs. C'est une compétition très dure. Mes partenaires le savent mieux que moi, surtout ceux qui l'ont déjà gagnée. On doit prendre de l'expérience auprès d'eux.<br /><br />Source : Le Parisien

Cabaye : « On ne m'a jamais rien donné »

Un mois après son arrivée, le milieu de terrain international de 28 ans dresse un premier bilan. Malgré un manque de temps de jeu certain, i...

Plus d'infos »

En Video || PSG vs OM : Buts qui ont marqué l’histoire du Classico

<div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on"><div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFiVD7n8WqCqV88zM914RrjWHRqZXyRy_rFHQ7xk9emS-SIjTuquo0E-GLv0ETdX8T6rmlJo9BMeRLZLLbAAgi4Q-HsW8ImHqK6pBdYMB7cCY5w6lCW2BmqCVt4c5E0dFs2_haVr_3RLU/s1600/Ronaldinho-portrait-930x620_scalewidth_630.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="266" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFiVD7n8WqCqV88zM914RrjWHRqZXyRy_rFHQ7xk9emS-SIjTuquo0E-GLv0ETdX8T6rmlJo9BMeRLZLLbAAgi4Q-HsW8ImHqK6pBdYMB7cCY5w6lCW2BmqCVt4c5E0dFs2_haVr_3RLU/s1600/Ronaldinho-portrait-930x620_scalewidth_630.jpg" width="400" /></a></div><br />Dimanche, le PSG reçoit l’OM au Parc des Princes. Le Classico est depuis plusieurs années le match le plus attendu de Ligue 1.  PSGFANSTV vous propose de revivre  des plus beaux buts de l’histoire de cette rivalité.<br /><br /><b>1- L’inspiration de Pauleta</b><br /><br />Avril 2004, le PSG s’impose 2-1 au Parc des Princes contre l’OM. Le premier but est inscrit par le buteur du PSG, Pauleta qui ouvre le score sur une superbe inspiration. Excentré côté gauche, il trouve la lucarne opposée de Barthez.<br /><br /><b>Le solo de Ronaldinho</b><br /><br />Mars 2003, le PSG s’impose au Vélodrome 3-0. L’homme du match s’appelle Ronaldinho. Le Brésilien martyrise la défense de l’OM et s’offre ce but en solo.<br /><br /><br /></div><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="350" src="//www.youtube.com/embed/tljJ9cfiWto" width="620"></iframe></div>

En Video || PSG vs OM : Buts qui ont marqué l’histoire du Classico

Dimanche, le PSG reçoit l’OM au Parc des Princes. Le Classico est depuis plusieurs années le match le plus attendu de Ligue 1.  PSGFANSTV vo...

Plus d'infos »

Matuidi prolonge jusqu'en 2018

<div dir="ltr" style="text-align: left;" trbidi="on"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9R28lRH5JiRk1WFWrr4SmAN1wZuUG3JA95cVXq7m0JKX6NaAeZxULAg0L0lUbMDRThIrIPaC1w2eh1A52YG-SrBOeHtrIY-gY-Ti4FB-FU7SMhDJRyv56u1QP1Rf6JWixNqfmsgZPNhI/s1600/2a.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9R28lRH5JiRk1WFWrr4SmAN1wZuUG3JA95cVXq7m0JKX6NaAeZxULAg0L0lUbMDRThIrIPaC1w2eh1A52YG-SrBOeHtrIY-gY-Ti4FB-FU7SMhDJRyv56u1QP1Rf6JWixNqfmsgZPNhI/s1600/2a.jpg" width="320" /></a></div><br />Un long feuilleton de plusieurs mois vient de s'achever ce mercredi après-midi. Blaise Matuidi, 26 ans, arrivé au PSG à l'été 2011, a prolongé de quatre ans son bail avec le club de la capitale. Il est désormais Parisien jusqu'en 2018. Sa prolongation est assortie d'une forte revalorisation salariale. L’ancien Stéphanois, qui percevait jusqu'à présent 103 000 euros nets mensuels, hors primes, aurait vu ses émoluments multipliés par deux.<br /><br />Très apprécié par le président al-Khelaïfi, il est l'un des symboles du PSG version Qatar. Pour la direction du club, il était hors de question de le laisser filer. Manchester City et le Real Madrid avaient un oeil dessus. Si la prolongation du bail de Matuidi a tant traîné à se concrétiser, c'est en raison de l’existence d’un différend financier et judiciaire entre le milieu de terrain, son nouvel agent Mino Raiola (également en charge d'Ibrahimovic et Maxwell notamment), et son ancien conseil, Jean-Pierre Bernès. Se considérant lésé, ce dernier a lancé une action devant les tribunaux et réclame plusieurs millions d'euros de dommages et intérêt à l'international français et à Raiola.<br />«Je souhaitais absolument continuer l'aventure. L'ambition sans limite du club n'a pas d'égal en Europe», s'est félicité Matuidi, qui a joué 124 matchs pour Paris, sur le site du club. «Nous envoyons un signal très fort en France et en Europe en prolongeant l'un des meilleurs joueurs français», a confié pour sa part Nasser al-Khelaïfi.<br /><br />LeParisien.fr</div>

Matuidi prolonge jusqu'en 2018

Un long feuilleton de plusieurs mois vient de s'achever ce mercredi après-midi. Blaise Matuidi, 26 ans, arrivé au PSG à l'été 2011, ...

Plus d'infos »

Ibrahimovic à Camara en direct || "Tu es encore plus moche à la télévision qu'en vrai "

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://www.blogger.com/blogger.g?blogID=5480805828633736402" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgo7NKcnP6QP9QiIiVuoGjK57kvb-vPP1mez8ojehgT96SkjERmimOmTKPaIo8ZHmuoNVDXo18fZN6UdfSS5j2CfRtzy5vHmGnrimH1itIKChbHj3a4puEx709yt7Vod1ToYJR41mMlxGM/s1600/7-ans-de-seduction.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgo7NKcnP6QP9QiIiVuoGjK57kvb-vPP1mez8ojehgT96SkjERmimOmTKPaIo8ZHmuoNVDXo18fZN6UdfSS5j2CfRtzy5vHmGnrimH1itIKChbHj3a4puEx709yt7Vod1ToYJR41mMlxGM/s400/7-ans-de-seduction.jpg" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="350" src="//www.youtube.com/embed/FomP0fJAiyo" width="620"></iframe>

Ibrahimovic à Camara en direct || "Tu es encore plus moche à la télévision qu'en vrai "

Plus d'infos »

OM vs PSG || 1993

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjIh3rBIzQEFqBiEokKR4YGJS-hardobXP8PvaTGHPx-K6R7RQLkm8XbQRsHPc8SFc_s_jfljzp0IYM8sA3BMCHSiipRYyzrVFLRWrp-pbWn3QkEus-_-qwcO8-P3HSw2wDG7sg-55a_UQ/s1600/PsgMilan-----902+(4).jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjIh3rBIzQEFqBiEokKR4YGJS-hardobXP8PvaTGHPx-K6R7RQLkm8XbQRsHPc8SFc_s_jfljzp0IYM8sA3BMCHSiipRYyzrVFLRWrp-pbWn3QkEus-_-qwcO8-P3HSw2wDG7sg-55a_UQ/s320/PsgMilan-----902+(4).jpg" /></a></div> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="350" src="//www.youtube.com/embed/FomP0fJAiyo" width="620"></iframe>

OM vs PSG || 1993

Plus d'infos »

PSG vs Toulouse : un, deux, trois, Ibra kadabra

<div style="background-color: white; margin: 0px; padding: 25px 0px 0px; position: relative; vertical-align: top;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhuVL6ZQA_a-SdHB2WL7PhyphenhyphendM05b3hEEvbrQLKvhXYwjdwVDyrW7wgKD835f-biLk0jPwDiowHitoCxhAgQOZ5hX44bQsJLzaT_qyp0v0XXyw5F7ebOfKFW0Wy73PDZmXMZX9z3lRkaj3U/s1600/7-ans-de-seduction.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="174" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhuVL6ZQA_a-SdHB2WL7PhyphenhyphendM05b3hEEvbrQLKvhXYwjdwVDyrW7wgKD835f-biLk0jPwDiowHitoCxhAgQOZ5hX44bQsJLzaT_qyp0v0XXyw5F7ebOfKFW0Wy73PDZmXMZX9z3lRkaj3U/s1600/7-ans-de-seduction.jpg" width="400" /></a></div><h2 class="chapo" style="color: #131313; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 15px; font-weight: normal; margin: 0px 0px 20px; padding: 0px; vertical-align: top;"><br /></h2><h2 class="chapo" style="color: #131313; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; font-size: 15px; font-weight: normal; margin: 0px 0px 20px; padding: 0px; vertical-align: top;">Grâce à un triplé de son géant suédois, le PSG s'impose difficilement à Toulouse (4-2) et reprend 5 points d'avance en tête de la Ligue 1.</h2><div><div><span style="color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: 12px;">Paris garde la tête froide en toutes circonstances. Alors qu'on pouvait craindre un certain relâchement après la démonstration opérée cette semaine en Ligue des champions, le club de la capitale a su s'extirper d'une situation rendue difficile par d'excellents toulousains, finalement battus (2-4) ce dimanche au Stadium. Le TFC pourra s'en vouloir d'avoir une nouvelle fois pêché dans l'efficacité, mais démontre pour l'occasion qu'il est possible de mettre en branle l'édifice parisien en proposant du jeu, et non pas en s'arc-boutant sur ses 30 mètres comme tant d'autres avant eux. Pour Paris, la semaine tourne à la quasi-perfection, avec 3 succès en autant de matches à une période charnière de la saison, et alors que Monaco leur avait mis la pression en battant Reims (3-2) vendredi.</span></span></div><div><span style="color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: 12px;"><br /></span></span></div><div><span style="color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: 12px;">Blanc reprend les mêmes... </span></span></div><div><span style="color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: 12px;"><br /></span></span></div><div><span style="color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: 12px;">À la surprise générale, Laurent Blanc avait choisi d'aligner son onze-type, le même qui était allé passer 4 buts au deuxième de Bundesliga mardi dernier. Ce qui s'est vu sur le début de match, car Paris a longtemps été poussif, émoussé peut-être, mais en tout cas bien gêné par la densité et l'abnégation toulousaines. Ce sont les joueurs du Téfécé qui ont eu les premières approches avec une énorme occasion, une reprise de Aurier sur le montant que Braithwaite, pourtant seul face aux cages vides, n'a pu pousser au fond (27e). </span></span></div><div><span style="color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: 12px;"><br /></span></span></div><div><span style="color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: 12px;">Face à une équipe du calibre de Paris, la moindre faute d'efficacité ne pardonne pas. Moins de cinq minutes après, Lavezzi poussait Spajic à la faute dans les 18 mètres, ce qui offrait à Ibrahimovic l'occasion de mettre les siens sur les rails (0-1, 33e). Une ouverture du score qui ressemblait à un petit miracle, Paris n'ayant été dangereux que sur une tête juste au-dessus de ... Verratti sur un corner rentrant de Motta (29e). Agacés par la tournure des événements, les Toulousains n'ont pas été loin de céder définitivement sur une frappe de Matuidi sortie du soupirail par Boucher (38e), puis sur un joli raté de Thiago Silva qui n'a pu convertir un centre puissant d'Ibra à 3 mètres des cages (43e). </span></span></div><div><span style="color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: 12px;"><br /></span></span></div><div><span style="color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: 12px;">Moment choisi par le TFC pour refaire surface, presque de manière inespérée. La combativité de Aurier a profité à Didot, qui s'en est allé déborder côté droit avant de servir sur un plateau Ben Yedder seul au second poteau, dont la volée de l'intérieur du pied sous la transversale n'a laissé aucune chance à Sirigu (1-1, 44e). </span></span></div><div><span style="color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: 12px;"><br /></span></span></div><div><span style="color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: 12px;">Deuxième période haletante</span></span></div><div><span style="color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: 12px;"><br /></span></span></div><div><span style="color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: 12px;">Il n'y aura guère de round d'observation dans un second acte qui va réconcilier les amateurs de foot avec la Ligue 1. Et alors que Motta est passé à un cheveu du rouge à la suite d'un coup sur Chantôme, Paris va finalement se détacher. Lavezzi, très actif cet après-midi, a profité d'un instant de flottement dans la surface toulousaine pour redonner l'avantage aux siens, du pied gauche pour son 5e but de la saison en L1 (1-2, 55e). Dans la foulée ou presque, Sirigu va sauver les siens par deux fois, sur un tir de Chantôme des 18 mètres (61e), mais surtout en écartant superbement un coup de tête puissant à bout portant signé Aurier (65e). </span></span></div><div><span style="color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: 12px;"><br /></span></span></div><div><span style="color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="font-size: 12px;">Des interventions qui vont avoir leur importance, Ibrahimovic creusant quelques instants plus tard, de la tête sur un coup-franc déposé par le rentrant Cabaye (1-3, 68e). Le match était dès lors plié me direz-vous ? Absolument pas ! Ben Yedder, profitant d'une remise malencontreuse de Motta, est parti défier puis battre Sirigu pour la réduction du score (2-3, 72e). De quoi s'offrir une fin de partie à suspens, même si le dernier mot est revenu à Paris et à Ibrahimovic, buteur en deux temps sur penalty pour s'offrir un triplé et (déjà) son 22e but en championnat (2-4, 90e). Paris trace sa route, envers et contre tout. Le TFC a donné l'exemple et, même s'il finit par céder, confirme les promesses de jeu que le Cap avait soulignées depuis le début de saison. Un enseignement porteur d'espoirs pour la suite de la saison toulousaine, mais qui a de quoi en ôter aux poursuivants du club de la capitale.</span></span></div></div><div style="color: #131313; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px;"><br /></div></div>

PSG vs Toulouse : un, deux, trois, Ibra kadabra

Grâce à un triplé de son géant suédois, le PSG s'impose difficilement à Toulouse (4-2) et reprend 5 points d'avance en tête de la Li...

Plus d'infos »

l'Italie confirme le malaise Cavani !

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEim61Qan5lsKz5ddHW_VJii0HrC2IuQRoxG25VGkLmaKPp8hUVj4hnIL_N9eMxh4WdUG8oXAuTfI_fkZgA19xiCJsfQzIGCGwCsUI5zes7Vp47WLM0x8BcRrBmFz2bitDMrH8fT7AYMv_o/s1600/7-ans-de-seduction.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEim61Qan5lsKz5ddHW_VJii0HrC2IuQRoxG25VGkLmaKPp8hUVj4hnIL_N9eMxh4WdUG8oXAuTfI_fkZgA19xiCJsfQzIGCGwCsUI5zes7Vp47WLM0x8BcRrBmFz2bitDMrH8fT7AYMv_o/s1600/7-ans-de-seduction.jpg" /></a></div><br /><u><b>Depuis quelques jours, la rumeur se fait insistante. Propagée en Angleterre puis en Uruguay, elle trouve aujourd’hui écho en Italie : Edinson Cavani, attaquant du PSG, songerait sérieusement au départ dès l’été prochain.</b></u><br /><br /><div><br /></div><div><div>Et si Edinson Cavani, recrue la plus chère de l’histoire de la Ligue 1 du haut des 64 M€ qu’il a coûté, venait à quitter la France et le PSG au bout d’un an ? La rumeur peut à première vue paraître fantaisiste, mais force est de constater qu’elle se répand comme une traînée de poudre ces derniers jours, laissant forcément à penser que du vrai s’y cache. Angleterre, Uruguay, et maintenant Italie via le Corriere dello Sport, oui, l’information selon laquelle le buteur uruguayen pourrait quitter Paris cet été prend de l’ampleur.</div><div><br /></div><div>L’argument avancé par les médias qui ont relayé cette dernière est toujours le même. Toujours : Edinson Cavani serait mécontent de sa situation au PSG, et notamment de son positionnement sur la pelouse, à droite dans le 4-3-3 mis en place en début de campagne par coach Laurent Blanc. Un mécontentement qui aurait de quoi étonner venant d’un élément affichant toujours un état d’esprit irréprochable, mais qui pourrait tout aussi bien être légitime pour ce vrai numéro 9 amené à cohabiter avec la star Zlatan Ibrahimovic, laquelle lui est préférée en pointe. Au vrai, peut-être est-ce le long terme qui effraie Cavani. Comme tout le monde, le joueur a saisi la portée des dires de son entraîneur, qui a maintes fois déclaré qu’il ne modifierait pas son dispositif.</div><div><br /></div><div>Le Corriere dello Sport le confirme donc aujourd’hui, l’ancien Napolitain, qui récupère actuellement d’une blessure aux ischios-jambiers, pense déjà au mercato estival. Un mercato qui, à en croire la publication transalpine, pourrait le voir prendre la direction de l’Angleterre, où Chelsea et Manchester United sont intéressés par son profil. Restera donc à vérifier l’information, et si elle se confirme, à constater le positionnement du PSG sur le dossier. Pas sûr que les dirigeants franciliens considèrent le départ d’un joueur qui leur a tant coûté…</div></div><div><br /></div><div><br /></div><div>Source : footmercato.net</div>

l'Italie confirme le malaise Cavani !

Depuis quelques jours, la rumeur se fait insistante. Propagée en Angleterre puis en Uruguay, elle trouve aujourd’hui écho en Italie : Edinso...

Plus d'infos »

Zlatan Ibrahimovic Amazing Goal || Bayer Leverkusen 0 vs 3 PSG

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJt2KiWvo8ANQs0MWq23Jgq16PSBmAXbb_qnPfgXLZ224FRfc8bT5vquSDACr0d4d0AsKBNZZsjxl4IkWDzg-9NeGmM5EGN9ypofvFpWghRKLssGJNJRJaa2T1Iu3IMBj7myWth7mRWMM/s1600/fcv.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="226" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjJt2KiWvo8ANQs0MWq23Jgq16PSBmAXbb_qnPfgXLZ224FRfc8bT5vquSDACr0d4d0AsKBNZZsjxl4IkWDzg-9NeGmM5EGN9ypofvFpWghRKLssGJNJRJaa2T1Iu3IMBj7myWth7mRWMM/s400/fcv.jpg" width="400" /></a></div><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="350" src="//www.youtube.com/embed/bYsMi6pMchc" width="620"></iframe>

Zlatan Ibrahimovic Amazing Goal || Bayer Leverkusen 0 vs 3 PSG

Plus d'infos »

Leverkusen-PSG : avec Pastore ou Lavezzi, les choses sérieuses débutent

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjeDMMOgi3huOd6FOVXs5ziopwnccvDH76qSAVdxBIbweMyO7tETmN3VSNRYqRjXoGjBhC7TPCBsSB0S5swjQrVlBofSwkUABNLssNZ6m7WblwOQ4vjz-Vg8_Ux0Jzmcyggchv9WdsbaAI/s1600/7764850616_zlatan-ibrahimovioc-sous-les-couleurs-du-psg.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="248" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjeDMMOgi3huOd6FOVXs5ziopwnccvDH76qSAVdxBIbweMyO7tETmN3VSNRYqRjXoGjBhC7TPCBsSB0S5swjQrVlBofSwkUABNLssNZ6m7WblwOQ4vjz-Vg8_Ux0Jzmcyggchv9WdsbaAI/s1600/7764850616_zlatan-ibrahimovioc-sous-les-couleurs-du-psg.jpg" width="400" /></a></div><br /><br />Après un mois de janvier chargé, le PSG a enfin retrouvé ces derniers jours de l'allant et de la fraîcheur tout en conservant un matelas de cinq points devant Monaco, son seul rival pour le titre national. Les Parisiens ont disposé vendredi, avec sérieux et envie, mais pas mal de déchet aussi, de Valenciennes (3-0) ; ils semblent avoir enfin digéré l'exigeant stage de fin d'année à Doha, qui visait à leur assurer une forme optimale en avril-mai, "là où les titres se gagnent", rappelle Blanc.<br /><br />Or, évidemment, les titres, à l'exception de la Coupe de France dont l'élimination en 16e de finale par Montpellier (2-1) lui a ôté tout espoir de Grand Chelem, c'est ce qui ne cesse d'animer le club de la capitale depuis qu'il est propriété de ses dirigeants qatariens. En début de saison les objectifs fixés ont été clairs : conserver le titre de champion de France - ce qui semble bien parti -, remporter une Coupe nationale - Paris jouera la finale de la Coupe de la Ligue contre Lyon le 19 avril -, et faire au moins aussi bien que la saison passée en C1, où il avait été éliminé avec les honneurs par le Barça en quart de finale.<br /><br />Leverkusen en plein doute<br /><br />S'agissant du défi continental, la prudence reste de mise en terme de communication, mais il ne faut pas s'y fier : l'ambition du PSG est immense, à l'image des moyens dont disposent ses propriétaires pour bâtir l'équipe qui parviendra à réaliser leur rêve. Un rêve qui passe d'abord par Leverkusen, face à une formation en plein doute et loin de celle qui avait tenu tête au Bayern (1-1) début octobre et s'était imposée à Dortmund (0-1) deux mois plus tard. <br />  <br />Lundi, le capitaine du Bayer Simon Rolfes a d'ailleurs volontiers attribué au PSG le costume de favori. "Nous sommes dans la peau du challenger, Paris a beaucoup investi, a une grande ambition, il est donc le favori, mais nous essaierons de repousser nos limites". L'entraîneur Sami Hyypia, ancien défenseur central de Liverpool notamment, s'attend "à voir beaucoup de classe individuelle", en premier lieu chez Ibrahimovic, "un  joueur de top niveau. On peut en tant que défenseur faire le match parfait, mais lui reste capable de marquer à tout moment".<br /><br />Qui pour épauler Ibrahimovic en l'absence de Cavani ?<br /><br />Pourtant, comme les statistiques l'attestent, "Zlatan" est un peu moins efficace lors des matches à éliminations directes. Mais pas de quoi alarmer Blanc : "Il a 32 ans, de l'expérience à revendre. Être décisif dans ces matches-là est plus difficile, car les défenses sont meilleures. Mais il reste notre meilleur atout pour marquer. C'est le joueur sur lequel le Bayer va se focaliser. Il répondra présent, c'est un compétiteur hors norme".<br />  <br />Toujours privé de Cavani, qui a recommencé à courir, Blanc devrait reconduire le onze qui lui offre le plus de garantie depuis le début de saison, avec notamment Alex associé à Thiago Silva en charnière centrale et son trio du  milieu Verratti-Motta-Matuidi. En attaque, aux côtés d'Ibra, Lucas occupera le flanc droit. Un doute subsiste en revanche pour le flanc gauche, Pastore et Lavezzi étant en concurrence.<br />  <br />Soit Blanc sent que son équipe est forte et lance "El Flaco" dans un registre de meneur-passeur où il semble renaître en ce début d'année, soit il préfère s'appuyer sur "El Pocho" qui a plus de déchet technique ou dans la finition, mais qui compense par une débauche d'énergie et un pressing défensif utiles lors des joutes européennes. Quelle que soit la composition d'équipe, il faudra que Paris ne s'amuse surtout pas à gâcher les occasions. Ce qui est apparu comme un péché mignon sans fâcheuse conséquence contre Valenciennes pourrait ne pas pardonner face à un Bayer devant son public. <br /><br />source : rtl.fr

Leverkusen-PSG : avec Pastore ou Lavezzi, les choses sérieuses débutent

Après un mois de janvier chargé, le PSG a enfin retrouvé ces derniers jours de l'allant et de la fraîcheur tout en conservant un matelas...

Plus d'infos »